Aux côtés des percussions du clan Chemirani, “les tablas de Prabhu Edouard et la batterie de Stéphane Galland sont les stars du soir. D’un côté la science des métriques indiennes, de l’autre la culture occidentale du jazz. Mais le même goût de l’audace et de l’improvisation partagé avec les autres musiciens. […] Des frappes virtuoses rebondissent sur les cordes d’une lyra crétoise et d’un violoncelle, crépitent jusque sur une cithare santour. […] La voix, elle, claque fort quand se rejoignent le fascinant konnakol (vocalisation rythmique) indien, les onomatopées persanes et le beatbox.» (Anne Berthod, Télérama)
L’héritage musical persan métamorphosé par le percussionniste et sa formation exceptionnelle ! Un énorme coup de coeur !
.